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Retourner à la boutiqueLe noyer
Souple, facile à travailler, le noyer appartient au club des privilégiés, chez Sébastien Geslin : « Si une essence définit le bois, pour moi, c’est le noyer ».
Le chêne
A ses côtés, le chêne occupe une jolie place. Brut, majestueux : « On le ressent en le travaillant. Mais c’est exigeant, le chêne. Il ne faut pas le marier avec n’importe quoi ». Et dans sa version fumée, il prend une couleur café particulièrement attirante…
Le morta
2000 ans sur les yeux ! Gris ou noir, le morta est un témoin de l’histoire. Un bois en cours de fossilisation, issu de forêts immergées durant des centaines d’années. Rare et précieux, il est parfois aussi tanique que certains vins… unique !
L'ébène
« Esthétiquement, c’est l’un des plus jolis bois » : ses petits filets noirs naturellement formés par un champignon confèrent à l’ébène blanc une superbe un peu à part. Qui nécessite une attention toute particulière au moment de choisir les finitions, et harmoniser chaque branche.
L'olivier
« Je ne sais pas encore où je vais l’emmener, mais je prends beaucoup de plaisir à travailler ce bois noble. On sent son histoire, j’aime d’où il vient ». Lui, c’est l’olivier. Une ondulation naturelle, de la puissance. Et un lissage parfait, dès qu’il est travaillé.
La Loupe de Vavona
Sauvage et riche en veines de bois, la loupe de Vavona dégage quant à elle une odeur poivrée très parfumée au ponçage.
L’Iroko, l’érable, l’acajou ou le fraké sont encore d’autres alternatives, inexplorées ou moins choyées : « Et il y en a plein d’autres que je voudrais travailler, mais je n’ai pas encore eu le temps ».
Un jour, c’est sûr, ils seront là, tout autour de lui. Dans son propre chalet en rondins de bois : « Au bord d’un lac, au Canada ».